Le « service minimum » en matière de transports publics consiste en l’idée, défendue par le MR et le cdH, d’imposer des prestations minimum aux travailleurs en cas de grève. Pour le PS, le « service minimum » est une atteinte aux droits des travailleurs et une atteinte au droit de grève. Nous défendons un service efficace, confortable, ponctuel et sûr, sans opposer les droits des usagers et ceux des travailleurs et sans remettre en cause la concertation sociale. Or, l’imposition d’un « service minimum », quelle que soit la manière, détruirait l’équilibre, le respect et la confiance entre les partenaires sociaux. Voir ici l’intervention de D. Senesael